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Cette lettre du Ministère est la réponse de la lettre de l'intendant du 16 avril 1774 au sujet de l'établissement de Péan jeune à Amboise.
Transcription (orthographe modernisée)
A Paris, ce 29 avril 1774
Monsieur,
J'ai mis sous les yeux de M, le Contrôleur Général la lettre que vous l'avez fait l'honneur de m'écrire le 16 de ce mois. Vous demandez en faveur du Sr. Péan élève de l'école vétérinaire d'Alfort du secours pour faciliter son établissement dans la ville d'Amboise. Le Ministre a bien voulu entrer dans vos vues à cet égard. D'après l'assurance que vous donnez des talents de ce jeune homme et de l'utilité que la province peut en retirer, il consent que vous lui fassiez donner un uniforme neuf, des livres et instruments nécessaires, 600 L. une fois payé, et un traitement précuniaire pendant trois années, savoir: 200 L. la première, 300 L. la seconde et 400 L. la troisième. Vous pouvez en conséquence lui délivrer dans le temps vos ordonnances pour ces différents objets sur les fonds libres de la capitation.
Je suis avec respect,
Monsieur,
Votre très humble et très obéissant serviteur
Dormesson
Cette lettre du Ministère est la réponse de la lettre de l'intendant du 16 avril 1774 au sujet de l'établissement de Péan jeune à Amboise.
Transcription (orthographe modernisée)
A Paris, ce 29 avril 1774
Monsieur,
J'ai mis sous les yeux de M, le Contrôleur Général la lettre que vous l'avez fait l'honneur de m'écrire le 16 de ce mois. Vous demandez en faveur du Sr. Péan élève de l'école vétérinaire d'Alfort du secours pour faciliter son établissement dans la ville d'Amboise. Le Ministre a bien voulu entrer dans vos vues à cet égard. D'après l'assurance que vous donnez des talents de ce jeune homme et de l'utilité que la province peut en retirer, il consent que vous lui fassiez donner un uniforme neuf, des livres et instruments nécessaires, 600 L. une fois payé, et un traitement précuniaire pendant trois années, savoir: 200 L. la première, 300 L. la seconde et 400 L. la troisième. Vous pouvez en conséquence lui délivrer dans le temps vos ordonnances pour ces différents objets sur les fonds libres de la capitation.
Je suis avec respect,
Monsieur,
Votre très humble et très obéissant serviteur
Dormesson