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Lettre de Péan ainé, directeur de l'école royale vétérinaire de Lyon à l'intendant de Tours, le 6 novembre 1770
Transcription (orthographe moderne)
J'ai l'honneur de vous envoyer ci-joint une feuille concnernant les progrès de nos élèves et dans le nombre desquels le Sr Aubert est l'un de vos sujets s'est distingué et a mérité les suffrages d'une assemblée très honorable et duquel nous sommes toujours très contents soit de son application soit de sa conduite.
Péan mon frère doit incessamment paraître dans un concours nouveau et dont j'aurai l'honneur de vous en mander le résultat (?).
Quant aux Srs Doutet et Hardy, nous en sommes également trsè contents. Ce dernier s'adonne à la maréchalerie et commence à y réussir.
Je vous supplie très humblement Monsieur de vous souvenir de M. Breupin (?) mon beau-frère pour qui j'eus l'honneur de vous écrire dernièrement relativement à la place d'arpenteur royal qu'il désirait. Je vous aurais une obligation des plus grandes, Monsieur, en la lui faisant avoir.
J'ai l'honneur d'être avec un très profond respect,
Votre très humble et très obéissant serviteur
Lyon ce 6 novembre 1770
Lettre de Péan ainé, directeur de l'école royale vétérinaire de Lyon à l'intendant de Tours, le 6 novembre 1770
Transcription (orthographe moderne)
J'ai l'honneur de vous envoyer ci-joint une feuille concnernant les progrès de nos élèves et dans le nombre desquels le Sr Aubert est l'un de vos sujets s'est distingué et a mérité les suffrages d'une assemblée très honorable et duquel nous sommes toujours très contents soit de son application soit de sa conduite.
Péan mon frère doit incessamment paraître dans un concours nouveau et dont j'aurai l'honneur de vous en mander le résultat (?).
Quant aux Srs Doutet et Hardy, nous en sommes également trsè contents. Ce dernier s'adonne à la maréchalerie et commence à y réussir.
Je vous supplie très humblement Monsieur de vous souvenir de M. Breupin (?) mon beau-frère pour qui j'eus l'honneur de vous écrire dernièrement relativement à la place d'arpenteur royal qu'il désirait. Je vous aurais une obligation des plus grandes, Monsieur, en la lui faisant avoir.
J'ai l'honneur d'être avec un très profond respect,
Votre très humble et très obéissant serviteur
Lyon ce 6 novembre 1770